Un parcours difficile
Je ne sais pas quand cela a commencé,
Peut-être avec une fracture du crâne à 1 an. J’ai rapidement eu des douleurs physiques, mal au pied droit au début à 5 ans, j’ai alors eu des semelles orthopédiques puis à 15 ans mal à la hanche droite puis à 18 ans difficultés pour se lier aux autres et après pour faire bref des douleurs profondes au ventre et ailleurs avec l’incompréhension totale de l’entourage. Pour finir, vers 28 ans sont apparus des phobies d’impulsion les plus horribles (pour les connaître, internet est un bon outil).
J’ai toujours eu la volonté de m’en sortir, mais je n’y arrivais pas, certains disaient que je m’écoutais ! Je me suis alors tourné vers les ostéopathes, psychologues, psychiatres, ces derniers ne me servant presque à rien sauf à me donner un antidépresseur pendant 4 ans qui ne fait vraiment pas avancer. Parmi ces derniers, une personne m’a vraiment fait avancer dans ma vie, mais cela ne se faisait plus sur la force et les gros problèmes restaient.
Puis une dentiste m’a conseillé d’aller voir un de ses confrères
Qui soignait les problèmes d’équilibration, en effet je cassais ou faisait tomber mes couronnes souvent. Ce dernier via la technique du bras, limer les dents pour rééquilibrer le corps, ce qui s’est avéré une catastrophe, car je suis allé le voir plusieurs fois (M. Quilliou m’a dit par la suite que ce n’était vraiment pas la bonne technique). Cela m’a fait passer à un état nerveux incontrôlable, j’étais proche de l’hôpital psychiatrique, j’avais envie de pleurer tout le temps et j’avais très mal au bras droit. J’ai alors vu un rhumatologue qui voulait me donner de la cortisone ce que je ne voulais pas du tout, (car à mon point de vue c'est une solution à court terme) et il me disait que je n’avais rien ! Puis j’ai trouvé le site internet de M. Quilliou qui ne m’attirait pas beaucoup avec ces gouttières, mais cela m’a sauvé, je n’avais d’ailleurs pas le choix, je m’étais déjà tourné vers plusieurs thérapies qui ne marchaient pas sur moi, il fallait continuer à explorer d’autres voies. Le premier contact téléphonique fut très bénéfique et j’eus ces fameuses gouttières en catastrophe qui eurent pour effet de me calmer nerveusement tout de suite. M. Quilliou m’a bien expliqué le pourquoi du comment, les blocages dans le corps, les compensations qui créent des tensions encore plus fortes dans le corps, les problèmes de posture (je me tenais mal, un peu bossu et surtout la tête dans les épaules et il m’a rassuré sur mes phobies insupportables, qu’il connaissait, résultat notamment de toutes mes compensations.
Il a fallu au début apprivoiser ces gouttières
Avec un zozotement que j’ai fini par accepter en les mettant tout le temps au bout de 4 mois (il est bien sûr possible de faire mieux). Il m’a également demandé d’être patient que cela pouvait durer 12 mois, dans mon cas j’ai les gouttières depuis 23 mois en raison, m’explique-t-il, d’un fort blocage émotionnel. J’étais dans une telle urgence que j’avais besoin de lui téléphoner souvent et il m’a toujours répondu gentiment. Il m’a fait également bénéficier de son réseau (pour ma part 6 personnes), cela m’a aidé à remonter la pente avec aussi les auto-massages (que je fais tous les jours) puis il m’a parlé d’un énergéticien qui m’a alors fait passer de grands caps. Maintenant j’ai une bien meilleure posture, mes douleurs commencent à disparaître petit à petit, le sentiment d’injustice et mes phobies aussi.
Malgré ces dernières je ne me suis jamais senti fou
mais cela m’handicapait terriblement dans ma vie privée, et professionnelle et seule mon épouse connaissait mon problème, car j’ai tout de même pu constituer une famille … dans la difficulté. J’espère que ce témoignage aidera certains à faire les mêmes démarches, mais je pense que tout ce que je viens de raconter est incompréhensible à un très grand nombre, car ne pouvant s’identifier ou s’imaginer. Tout cela a un coût, mais le fait d’être mieux dans sa vie permet de finalement s’y retrouver avantageusement au niveau financier en progressant notamment au niveau professionnel et dans ses projets de vie, pour ne parler que du côté matériel. Pour finir, je complèterai ce premier témoignage plus tard au moment opportun, car tout n’est pas encore tout à fait acquis.
Un grand merci à M. Quilliou qui a été d’un secours incroyable avec son approche globale.
Henri